Tiens, une petite voix me glisse quatre verités
Qui passent la rampe et gravissent l'escalier
Les jambes tirent et les yeux ont tourné,
Va savoir, où la bouche est tombée
Comme museau levé j'écoute, la voix je la suis,
Top là ! Echangeons des nuits pour des nuits
Du coup l'aube en sort toute retournée,
Le bourreau a du mal a trancher.
Et aussitôt, quelqu'un manque et de rien, le jour est chargé
Et tout peut se charger d'absence.
Rien qui sache mieux qu'elle s'absenter.
Bagatelle, que m'as tu promis ? Où m'as-tu mené ?
Les petites vagues se font vite emportées,
Et morflant, sous cape, comme habitué,
On a vite sa table, ses entrées
Des retours de flamme s'annoncent,
Leurs trains sont attendus,
Ma pancarte est inutile, ils m'ont reconnu,
Dans l'helice où mes doigts sont passés
Je m'avance l'histoire de bien capter.
Car rien à faire quelqu'un manque et de rien,
Le jour est chargé,
Et tuot peut se charger d'absence,
Rien qui sache mieux qu'elle s'absenter
This one I have a pretty hard time wrapping my head around. For the most part I can translate the words themselves rather thoroughly, but I am missing something vast here. I understand that it is mostly just metaphor, some kind of art project poetry piece. The tune is beautiful and if I could have any help in understanding this one, perhaps I can sleep better at night.