translation please ;D
Il ny a pas d’ justice entre nous, que le silence dans mon eden.
Repris justice, j’efface des traces de ton ADN, et pris justice.
J’avou pour que l’affaire puisse voir hausser la graine.
Le fil me tien à bout l’absence cause de mes graines.
Que-ce passe t’il? Quelle heure est til?
Personne ne me répond.
Sur la boîte à lettres il n’y a plus que mon nom.
Je suis déboussolée dans un monde
de plein mobiles les personnes nagent
souriantes mais trop mobiles.
Là je fait silence manque que le volume,
la foule évolue bile, soluble ma pensé se dissout,
ne fais pas de billes.
pour effacer la mémoire il suffit
d’ôter la pile et brûler les photos
qu’au fil du bonheur on empile.
Qui suis-je là devant le monde, pas une seule
Seconde d’ôter en un instant pour penser à exister.
Les heures passent lentement on m’a laissé là
comme un va qui déconne en attente du
lendemain qui chante. Mais ce n’est pas moi qui chahute,
ce n’est pas moi qui rechute personne ne me discute. La vie est
une histoire drôle attention à la chute le
vi si vi nous frôle attention à l’uppercut.
Attiré par le solstice et sous le néon, on
me rit au nez, on dit de moi que je suis
un parasite met on faire la sourde, m’embourbe
dans ne foule on me donne des coudes, que des
gens qui boudent là…on se pousse, pas de coups de pouce,
pas de place
pour tous pas d’oxygène pour ce qui toussent
. . . . . . . .tu sorts
le stylo de sa trousse l’amour est mort et
il à laissé son odeur sur le draps-housses
je sourit et sa me semble . . . . . . mais qui
le sait qui le sent si insensé que cela semble
dehors le mauvais sens s’enfuit comme un néant de
sang, dedans un courant d’air et je m’envole avec les cendres.
Je cesse de danser la lièce et en . . . . . . . . pièce
Je connais la chanson et elle m’empêche de penser,
j’hésite entre rester ou va quand je passe l’instant
. . . . . . . distant
personne ne m’attend…