Rufus Wainwright – Letras de Le Roi D'Y's

Puisqu'on ne peut fléchir ces jalouses gardiennes,
Ah! laissez­moi
Conter mes peines
Et mon émoi.

Vainement, ma bien­aimée!
On croit me désespérer;
Près de ta porte fermée
Je veux encore demeurer.

Les soleils pourront s'étendre.
Les nuits remplacer les jours.
Sans t'accuser et sans me plaindre
Là, je resterai toujours.

Añadido por Guest